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Installation de Typo3 sur Mac OS X 10.3 Client

Author:Kasper Skårhøj
Created:2002-11-01T00:32:00
Changed:2004-08-23T08:27:44
Author:Jean-David Gadina / macmade.net
Email:info@macmade.net
Info 3:
Info 4:

Installation de Typo3 sur Mac OS X 10.3 Client

Extension Key: doc_macosxclient

Copyright 2000-2002, Jean-David Gadina / macmade.net, <info@macmade.net>

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The content of this document is related to TYPO3

- a GNU/GPL CMS/Framework available from www.typo3.com

Table of Contents

Installation de Typo3 sur Mac OS X 10.3 Client 1

Introduction 1

A lire avant de commencer 1

Conditions préalables 2

Installation 2

Système X-Window 2

Outils de développement 2

Activer l'utilisateur «root» 2

Sauvegardes 3

Copier & Coller 3

Manuels Unix 3

Questions 3

Unix et le shell 3

Lancer le terminal 3

Les bases 4

Session root 4

Commandes utiles 4

Apache 6

Activer le serveur 6

Commandes Apache 7

Configuration 7

Hébergement virtuel 8

Documentation 9

Réseau 9

Airport et les routeurs 9

Numéros de port 10

Librairies graphiques 11

Informations 11

Note à propos de la compilation 11

Lib JPEG 11

Lib PNG 11

Lib TIFF 12

FreeType 12

GNU GhostScript 13

ImageMagick 13

GD 13

Librairies supplémentaires 13

Informations 13

CatDoc 13

XPDF 14

HTML Doc 14

GNU Aspell 14

MySQL 15

Informations 15

Installation 15

Configuration 15

Commandes MySQL 16

Création d'une base de données 17

Création d'un utilisateur 17

Administration 17

Documentation 17

PHP 17

Informations 17

Installation 18

Configuration 18

Documentation 19

Typo3 19

Installation 19

Note à propos des navigateurs internet 20

Configuration 20

Documentation 22

Remerciements 22

Introduction

A lire avant de commencer

Le but de ce manuel est de vous aider à installer et à configurer un serveur web, comprenant toutes les fonctionnalités requises pour une installation complète de Typo3. Vous n'avez pas besoin de maîtriser les technologies Unix pour le suivre, mais si avez déjà un peu d'expérience dans ce domaine, cela vous sera sans doute fort utile. Si par contre vous ne vous sentez pas à l'aise avec Mac OS X, faites bien attention de suivre chaque étape de ce manuel, sans en omettre une seule. Vous allez apprendre à installer et à configurer un serveur internet, ainsi que tous les programmes et librairies nécessaires à l'utilisation d'un CMS comme Typo3. Vous allez également découvrir le mode de fonctionnement interne de votre machine, ce qui vous aidera aussi, je l'espère, lors de l'utilisation quotidienne de votre Macintosh.

Conditions préalables

Installation

Il est préférable de commencer avec une nouvelle installation de Mac OS X. Bien qu'il ne devrait pas y avoir de problème avec une configuration existante, il y a toujours un léger risque d'incompatibilité si vous avez déjà installé et configuré des programmes. La meilleure solution est donc de réinstaller complètement le système, suivre ce manuel, et finalement installer puis configurer vos programmes et fichiers, comme d'habitude. Ainsi, vous éviterez tout risque de problème.

Système X-Window

Lors de l'installation de votre Macintosh, vous avez la possibilité d'installer un programme nommé X11, qui est un système X-Window. En d'autres termes, c'est un environnement graphique alternatif à l'interface Aqua que vous connaissez déjà. De nombreux programmes que nous allons installer on besoin d'X11 pour fonctionner correctement; vous devez donc impérativement l'installer. De plus, la plupart des manuels concernant Typo3 sont fournis au format SXW, et ne sont lisible que via X11. SXW est le format des documents texte d'OpenOffice. Le mieux est donc d'installer X11, suivi d'OpenOffice, afin de pouvoir lire ces manuels. La version Mac peut être téléchargée depuis le site officiel ( http://www.openoffice.org/ ).

img-1

Outils de développement

Mac OS X est vendu avec un CD supplémentaire appelé les «Developer Tools». Ce CD contient des programmes ainsi que des librairies permettant de développer des applications natives pour Mac OS X. Les programmes que nous allons installer vont avoir besoin de certaines de ces ressources. Il vous faut donc installer le contenu de ce CD avant de continuer.

Activer l'utilisateur «root»

Tout système basé sur Unix possède un utilisateur appelé «root». C'est donc le cas pour Mac OS X. Root est le super-administrateur, qui a accès à n'importe quelle partie du système, et qui a le droit d'effectuer n'importe quelle opération. Par défaut, cet utilisateur est désactivé sur OS X, pour des raisons de sécurités évidentes. Pour effectuer notre installation, nous allons devoir l'activer. Pour cela, ouvrez le programme Gestionnaire NetInfo, qui se trouve dans /Applications/Utilitaires/.

img-2 Dans le menu «Sécurité», cliquez sur«Activer l'utilisateur root». Vous allez obtenir un écran comme celui-ci:

img-3

Entrez un mot de passe, puis cliquez sur OK. Nous pouvons maintenant accéder à toutes les fonctionnalités du système.

Sauvegardes

Si vous possédez des fichiers importants sur votre disque dur, je vous conseille de créer une sauvegarde complète dans un endroit sûr. Les opérations que nous allons effectuer pourraient en effet faire planter votre ordinateur en cas d'erreur. Pour éviter ce genre de désagréments, vous pouvez utiliser des programmes gratuits, comme l'excellent CarbonCopyCloner ( http://www.bombich.com/software/ccc.html ), qui est simple d'utilisation, et très puissant.

Copier & Coller

Faites toujours des copier-coller des commandes et des codes que vous trouverez dans ce manuel, afin d'éviter une faute de frappe.

Manuels Unix

Si vous avez des doutes au sujet d'une commande, vous pouvez toujours taper «man» suivi de la commande, dans le terminal. Vous obtiendrez alors un manuel complet de la fonction désirée, avec les paramètres nécessaires, ainsi que des exemples d'utilisation.

Questions

Si vous avec des questions concernant ce manuel, vous pouvez toujours me contacter par courrier électronique (info@macmade.net), ou me trouver sur les forums de Typo3 France ( http://www.typo3.fr/forum/ ). Veuillez indiquer dans votre message une description de votre problème, ainsi qu'un résumé de la configuration actuelle de votre machine.

Unix et le shell

Lancer le terminal

Mac OS X est un système basé sur Unix. Cela veut dire que, sous l'aspect fluide et simple de l'interface Aqua, se cache une puissance terrible, qui fait de Mac OS X un système merveilleux. En fait, Unix constitue le premier niveau de Mac OS X. Même si vous ne le connaissez pas, même si vous ne le voyez pas, tout ce que vous faites sur votre Mac est rendu possible par cette base Unix. Pour le constater, ouvrez l'application Terminal, qui se trouve dans /Applications/Utilitaires/.

img-4

Ne craignez rien. Il est vrai qu'il ne s'agit pas là d'une interface utilisateur très conviviale. Mais souvenez-vous qu'il n'y a absolument aucune raison pour que cela le soit. Le but de ce programme est en effet de créer une interface robuste entre la base Unix du système et vous. N'importe quelle commande tapée dans le terminal sera d'abord interprétée, puis exécutée par le système. Vous pouvez théoriquement faire n'importe quoi avec le terminal, même détruire votre propre machine, à condition de connaître les commandes nécessaires. Gardez donc à l'esprit qu'il ne s'agit pas d'un jouet, et que vous ne serez pas avertis en cas d'erreur. Nous ne sommes pas sur un système Microsoft, et nous en sommes vraiment sûr...

img-5

Voici mon propre terminal en pleine action. Le votre sera sans doute un peu différent. Maintenant, je vais vous guider dans les bases du shell Unix.

Les bases

Vous allez tout d'abord remarquer une phrase disant «Welcome to Darwin». Darwin est le nom de code du noyau Unix de Mac OS X, basé sur les systèmes BSD. Ensuite, vous devriez avoir quelque chose du genre:

cube:~ macmade$

On appelle cela le «prompt». Tout d'abord, cela indique que vous vous trouvez sur une machine appelée «cube» (en l'occurrence, ma machine adorée) et que vous travaillez actuellement dans le répertoire «~», qui est votre dossier de départ (dans /Utilisateurs/). Ensuite vient le nom de l'utilisateur exécutant la session. Finalement, le signe dollar vous indique que vous utilisez bash (Bourne Again Shell), qui est le shell par défaut sous Mac OS X. Maintenant, vous pouvez vous exercer à taper quelques commandes. Par exemple:

ls

Validez avec la touche enter. Le résultat sera le suivant:

Desktop   Documents Library   Movies    Music     Pictures  Public    Sites

La commande ls (list) produit une liste de tous les fichiers et dossiers dans le répertoire courant. Maintenant, essayez ceci:

ls -al /

Cette fois, le résultat est différent. Avec la commande ls, nous avons passé deux options, ainsi qu'un argument. Les options sont passées grâce au signe «-», et peuvent être combinées. Elles déterminent comment la commande doit réagir. Dans cette exemple, nous avons demandé à la machine de produire une liste détaillée (l), en incluant également les fichiers cachés (a). L'argument / indique à la commande qu'elle doit produire une liste de votre disque dur, à la place du répertoire courant. Chaque commande peut avoir des options et des arguments. Lisez la section concernant les commandes pour de plus amples détails.

Session root

Dans une section précédente de ce manuel, nous avons activé l'utilisateur root. Nous pouvons donc maintenant avoir un contrôle total du système via le terminal. Tapez ceci:

su

Le mot de passe que vous avez défini précédemment vous sera demandé. Remarquez qu'après avoir été authentifié, le prompt a changé. Vous êtes maintenant connecté en tant que root. Pour revenir à votre session utilisateur, tapez «exit». Certaines des commandes que nous allons utiliser vont avoir besoin des privilèges root, mais vous n'aurez pas besoin à chaque fois d'ouvrir une session root. Vous pouvez très bien exécuter une seule commande en tant que root, depuis votre session utilisateur. Essayez ceci:

sudo ls -al

La commande ls a été exécutée avec les privilèges root, mais après cela, vous vous trouvez toujours dans votre propre session. Il s'agit là d'un moyen beaucoup plus sûr pour effectuer une opération nécessitant des droits spéciaux, puisque vous n'accéder complètement au système que pour le temps nécessaire à la commande.

Commandes utiles

Vous allez trouver ici quelques commandes que nous allons utiliser dans ce manuel. Vous n'avez pas besoin de les apprendre par coeur. Il s'agit simplement d'une petite référence, pour vous aider à comprendre les opérations que vous aller effectuer. Veuillez également noter qu'il ne s'agit pas là d'une référence exhaustive des commandes. Pour obtenir cela, tapez man suivi de la commande, dans le terminal.

((generated))
1. pico

Un éditeur texte simple. La syntaxe par défaut est:

pico fichier

Utilisez les flèches du clavier pour naviguer dans le document. Vous pouvez également utiliser les raccourcis clavier [ctrl-y] et [ctrl-v] pour changer de page. Appuyez sur [ctrl-x] pour quitter, [ctrl-o] pour sauvegarder, et [ctrl-w] pour rechercher un mot.

2. chown

Change Owner - Modifiele propriétaire et le groupe associés à un fichier ou à un répertoire. La syntaxe par défaut est:

chown [paramètres optionnels] propriétaire:groupe fichier
::

Option

-R

Nom

Recursive

Description

Modifie également le propriétaire et le groupe pour tous les fichiers et dossiers contenus dans le répertoire spécifié.

3. chmod

Change Mode - Modifie les permissions d'un fichier ou d'un répertoire. Chaque fichier possède des permissions de lecture, d'écriture et d'exécution pour le propriétaire, le groupe, et le reste du monde. Les permissions sont donc décomposées en une séquence de trois chiffres (propriétaire - groupe – monde). Ensuite, chaque chiffre est une combinaison des valeurs de chaque permission.

Permission de lecture      (R) - 4
Permission d'écriture      (W) - 2
Permission d'exécution     (X) - 1

Par exemple, si les permissions d'un fichier sont 753, cela signifie que le propriétaire possède un accès total (R+W+X), le groupe un accès en lecture et exécution (R+X) et le reste du monde un accès en écriture et exécution (W+X). La syntaxe par défaut est:

chmod [paramètres optionnels] permissions fichier
::

Option

-R

Nom

Recursive

Description

Modifie également les permissions pour tous les fichiers et dossiers contenus dans le répertoire spécifié.

4. ls

List - Affiche une liste des fichiers contenus dans le répertoire indiqué. La syntaxe par défaut est:

ls [paramètres optionnels] [répertoire optionnel]
::

Option

-a

Nom

All

Description

Affiche également les fichiers et répertoires cachés.

::

Option

-c

Nom

Changed

Description

Trie les fichiers par date de modification.

::

Option

-l

Nom

Long

Description

Affiche une vue détaillée des fichiers.

::

Option

-n

Nom

Numeric

Description

Affiche le propriétaire et le groupe comme valeurs numériques.

5. cd

Change directory – Changer de répertoire. La syntaxe par défaut est:

cd répertoire
6. cp

Copy - Copie le fichier indiqué à l'endroit spécifié. La syntaxe par défaut est:

cp [paramètres optionnels] fichier destination
::

Option

-R

Nom

Recursive

Description

Copie l'arborescence complète, en incluant les liens symboliques.

::

Option

-f

Nom

Force

Description

Ecrase les fichiers existants sans avertir.

::

Option

-p

Nom

Preserve

Description

Préserve toutes les propriétés du fichier (date de modification, propriétaire, groupe, etc...).

::

Option

-v

Nom

Verbose

Description

Affiche tous les fichiers copiés.

7. mv

Move - Déplace un fichier à l'endroit spécifié. La syntaxe par défaut est:

mv [paramètres optionnels] fichier destination
::

Option

-f

Nom

Force

Description

Ecrase les fichiers existants sans avertir.

::

Option

-v

Nom

Verbose

Description

Affiche tous les fichiers déplacés.

8. ln

Link - Crée un lien (un alias) vers un fichier à l'endroit spécifié. La syntaxe par défaut est:

ln [paramètres optionnels] fichier lien
::

Option

-s

Nom

Symbolic

Description

Crée un lien symbolique à la place d'un lien «en dur».

9. mkdir

Make directory – Crée un répertoire. La syntaxe par défaut est:

mkdir [paramètres optionnels] répertoire
::

Option

-m

Nom

Mod

Description

Spécifie les permissions pour le nouveau répertoire. Doit être suivi par le chmod (ex. -m 777).

10. rm

Remove – Efface un ficher. La syntaxe par défaut est:

rm [paramètres optionnels] fichier
::

Option

-d

Nom

Directory

Description

Efface également les répertoires.

::

Option

-f

Nom

Force

Description

Efface les fichiers sans avertir et sans tenir compte des permissions.

::

Option

-R

Nom

Recursive

Description

Efface également tous les fichiers contenus (inclut l'option d).

::

Option

-v

Nom

Verbose

Description

Affiche tous les fichiers effacés.

11. Obtenir de l'aide

Si vous voulez voir rapidement les options et paramètres disponibles pour une commande, tapez simplement --help après celle-ci.

12. Quitter le shell

Lorsque vous avez terminé de taper vos commandes, ne refermez pas la fenêtre du terminal. Tapez «exit», jusqu'à ce que [Logout] soit affiché, pour assurer une sortie propre.

13. Interrompre une commande

Parfois, une commande peut ne pas répondre. Comme les autres programmes, une commande peut déclencher une erreur. Pour éviter de vous retrouver bloqués par le processus en cours, vous avez la possibilité de taper [ctrl-x] (touches contrôle et x) pour forcer la commande en cours à se terminer.

Apache

Activer le serveur

Mac OS X est livré avec un serveur Apache 1.3 prêt à l'emploi. Nous n'aurons donc pas besoin de l'installer, mais uniquement de l'activer. Pour cela, ouvrez les Préférences Système (dans le menu pomme) et allez dans la section Partage. Vous obtiendrez une fenêtre comme ceci:

img-6

Vous voyez ici toutes les options de partage et les protocoles disponibles avec OS X. Celui qui nous intéresse est «Partage Web Personnel». En l'activant, vous lancerez le serveur Apache.

Votre machine est maintenant accessible via le protocole HTTP. Pour le vérifier, ouvrez votre navigateur favori, est accédez à l'adresse http://127.0.0.1/ ou http://localhost/. Il s'agit là des adresses locales de votre serveur, accessible uniquement depuis votre Macintosh. Pour savoir comment accéder au serveur depuis l'extérieur, veuillez lire le chapitre suivant, sur le réseau.

Commandes Apache

Apache est fourni avec un programme accessible via le terminal, qui sert à contrôler et à tester l'environnement du serveur. Le nom de ce programme est «apachectl», pour Apache Control. Vous trouverez ci- dessous une brève descriptions de ses fonctionnalités. Vous avez besoin de privilèges spéciaux pour y accéder. Utilisez donc sudo avant de l'invoquer. La syntaxe par défaut est:

apachectl fonction
::

Fonction

start

Description

Démarre le serveur Apache.

::

Fonction

stop

Description

Arrête le serveur Apache.

::

Fonction

restart

Description

Redémarre le serveur Apache.

::

Fonction

graceful

Description

Redémarre le serveur Apache de manière propre. Cela veut dire que le serveur attendra que les requêtes existantes soient terminées pour redémarrer.

::

Fonction

status

Description

Affiche un bref résumé des activités du serveur (requiert l'activation de mod_status / reportez vous à la section sur la configuration).

::

Fonction

fullstatus

Description

Affiche la liste complète des activités du serveur (requiert l'activation de mod_status / reportez vous à la section sur la configuration).

::

Fonction

configtest

Description

Teste les fichiers de configuration pour détecter une éventuelle erreur.

Configuration

Maintenant que le serveur Apache est actif, nous allons examiner le fichier de configuration. Ce fichier se nomme httpd.conf, et se trouve dans le répertoire /etc/httpd/. Ce répertoire, comme de nombreux autres utilisés par le système, est caché. Vous ne pouvez donc pas le voir dans le Finder.

D'abord, depuis le terminal, accédez au répertoire de configuration d'Apache:

cd /etc/httpd/

Nous allons, avant de poursuivre, effectuer une copie de sécurité de ce fichier:

sudo cp httpd.conf httpd.conf.save

Après cela, nous allons ouvrir le fichier avec pico. Vous devez utiliser sudo, afin d'enregistrer toute modification, puisque ce fichier appartient à l'utilisateur root:

sudo pico httpd.conf

Etudions maintenant le contenu du fichier. A la ligne 63, vous trouverez ceci:

ServerRoot "/usr"

Cela indique que les fichiers de base d'Apache se trouvent dans /usr/local/. Ensuite, à la ligne 190, vous verrez ceci:

# Dynamic Shared Object (DSO) Support

Cette ligne est un commentaire (précédée par le signe #). Elle ne sera donc pas interprétée par Apache. La section DSO est très importante. Après les commentaires, vous verrez une série d'instructions:

#LoadModule    vhost_alias_module    libexec/httpd/mod_vhost_alias.so
#LoadModule    env_module            libexec/httpd/mod_env.so
LoadModule     config_log_module     libexec/httpd/mod_log_config.so
[...]
#AddModule     mod_vhost_alias.c
#AddModule     mod_env.c
AddModule      mod_log_config.c
[...]

Vous remarquerez que certaines de ces lignes sont également des commentaires. L'instruction LoadModule indique à Apache de charger un module additionnel. En d'autres termes, cela ajoute des fonctionnalités à Apache. L'instruction AddModule est complémentaire à LoadModule. Seules les lignes qui ne sont pas commentées seront exécutées par Apache. Donc seuls les modules correspondants seront chargés. Pour en activer un autre, il suffit d'ôter le signe # dans les deux instructions correspondant au module en question.

C'est précisément ce que nous allons faire maintenant. Nous allons ajouter certains modules, requis pour le fonctionnement d'un CMS comme Typo3. Activez donc les lignes suivantes, en effaçant le signe #:

#LoadModule    status_module     libexec/httpd/mod_status.so
#LoadModule    info_module       libexec/httpd/mod_info.so
[...]
#LoadModule    rewrite_module    libexec/httpd/mod_rewrite.so
[...]
#LoadModule    perl_module       libexec/httpd/libperl.so
#LoadModule    php4_module       libexec/httpd/libphp4.so
[...]
#AddModule     mod_status.c
#AddModule     mod_info.c
[...]
#AddModule     mod_rewrite.c
[...]
#AddModule     mod_perl.c
#AddModule     mod_php4.c

Et voilà. Nous avons activé l'utilisation de Perl et de PHP sur notre serveur, ainsi que les modules permettant d'obtenir des informations sur Apache, qui sont utilisés, par exemple, par la commande «apachectl status». Nous avons également activé le module permettant la réécriture d'URLs. Vous verrez pourquoi dans la chapitre concernant Typo3.

Ensuite vient la configuration du serveur principal («Main Server»). Vous trouverez, aux lignes 330 et 331:

User www
Group www

www est l'utilisateur qui exécutera les opérations d'Apache. C'est un élément important à retenir, pour le chapitre concernant l'installation de Typo3. Plus loin, à la ligne 363, vous verrez cela:

DocumentRoot "/Library/WebServer/Documents"

Il s'agit de l'endroit où vont se trouver les documents accessibles depuis internet. Nous allons changer cette ligne, pour utiliser un autre endroit. Certaines mises à jour du système vont en effet modifier des fichiers Apache. Nous n'allons donc pas utiliser l'emplacement par défaut, pour éviter tout risque de problème:

DocumentRoot "/Library/Servers/Server-1/Documents"

Il va donc maintenant falloir créer ce nouvel emplacement. Dans une autre fenêtre du terminal, tapez:

sudo mkdir /Library/Servers /Library/Servers/Server-1 /Library/Servers/Server-1/Documents /Library/Servers/Server-1/CGI-Executables

Ensuite, nous allons attribuer les permissions correctes pour ces répertoires:

sudo chown -R your_username:www /Library/Servers
sudo chmod -R g+w /Library/Servers

Remplacez «your_username» par votre nom d'utilisateur court (celui qui figure dans le prompt). Revenons maintenant au fichier de configuration, à la ligne 388:

<Directory "/Library/WebServer/Documents">

Il nous faut également changer cette ligne, en tenant compte du nouvel emplacement (/Library/Servers/Server-1/Documents). L'instruction <Directory> indique une section de configuration de répertoire. En dessous, vous pourrez voir ceci:

Options Indexes FollowSymLinks MultiViews

Cette ligne configure les options du répertoire. Par exemple, l'option «Indexes» permet à Apache de produire une liste des fichiers, si aucune page index.html n'est trouvé. Pour désactiver cette option, ajoutez un signe moins juste avant:

Options -Indexes FollowSymLinks MultiViews

Plus loin, vous verrez ceci:

AllowOverride None

Vous allez devoir changer cette ligne en «AllowOverride All». Cela va activer l'utilisation de fichiers .htaccess à l'intérieur du répertoire /Library/Servers/Server-1/Documents/. Un fichier .htaccess peut contenir des instructions Apache, afin de configurer le serveur sans avoir à toucher le fichier de configuration principal. Nous utiliserons un tel fichier dans le chapitre sur Typo3. Juste après ceci, vous trouverez les lignes suivantes:

Order allow,deny
Allow from all

Nous n'avons pas besoin de changer ces lignes. Elles indiquent à Apache que tout le monde peut accéder aux fichiers contenus sur le serveur. Si vous désirez, par exemple, restreindre l'accès à votre seule machine, changez ces deux lignes ainsi:

Order deny,allow
Deny from all
Allow from 127.0.0.1

Vous pourrez trouver de plus amples détails sur les restrictions d'accès dans le manuel d'Apache. Plus loin, à la ligne 659, nous allons encore devoir changer la référence de l'emplacement du répertoire contenant les scripts CGI, comme nous l'avons fait précédemment:

<Directory "/Library/WebServer/CGI-Executables">

Ensuite, à la ligne 864:

#AddHandler cgi-script .cgi

Nous avons plus haut activé le module Perl. Nous devons donc maintenant activer cette ligne pour permettre l'exécution de scripts CGI, en enlevant le signe #. C'est tout pour l'instant. Vous pouvez sauvegarder le fichier de configuration en appuyant sur [ctrl-o] et le fermer en appuyant sur [ctrl-x]. Vous vous retrouverez alors de nouveau dans votre session shell. Pour que les changement soient pris en compte, il faut redémarrer Apache:

sudo apachectl graceful

Hébergement virtuel

Votre serveur est maintenant actif. Pour publier vos fichiers, placez les simplement dans /Library/Servers/Server-1/Documents/. Mais que se passe-t-il si vous avez besoin de plus d'un serveur?

Apache permet de faire de l'hébergement multiple. Cela veut dire que vous pouvez avoir autant de sites que vous le désirez sur votre serveur, chacun ayant sa propre racine web. Il y a plusieurs façons de réaliser ceci. Dans notre cas, nous allons utiliser une méthode appelée «hôtes virtuels basés sur le nom de domaine». En premier, copiez le répertoire /Library/Servers/Server-1/:

sudo cp -prf /Library/Servers/Server-1 /Library/Servers/Server-2

Maintenant, ouvrez à nouveau le fichier de configuration d'Apache. La section concernant les hôtes virtuels se trouve à la ligne 1029. Nous allons ajouter quelques lignes, juste après les commentaires:

NameVirtualHost *
Listen 80
<VirtualHost *:80>
DocumentRoot "/Library/Servers/Server-1/Documents"
</VirtualHost>

Nous ajoutons ici le premier serveur comme hôte virtuel. Remarquez l'instruction «Listen». Elle indique le port de l'hôte virtuel. 80 est le port par défaut du protocole HTTP. Nous allons maintenant ajouter un second serveur. Celui-ci ne peut pas se trouver sur le même numéro de port que le premier. Nous allons donc en utiliser un autre (9000). Du coup, pour accéder au second serveur depuis un navigateur, l'adresse sera http://127.0.0.1:9000/. Dans le fichier de configuration, ajoutez maintenant les lignes suivantes:

Listen 9000
<VirtualHost *:9000>
DocumentRoot "/Library/Servers/Server-2/Documents"
<Directory "/Library/Servers/Server-2/Documents">
Options -Indexes FollowSymLinks MultiViews
AllowOverride None
</Directory>
<IfModule mod_alias.c>
ScriptAlias /cgi-bin/ "/Library/Servers/Server-2/CGI-Executables/"
<Directory "/Library/Servers/Server-2/CGI-Executables">
AllowOverride None
Options None
</Directory>
</IfModule>
</VirtualHost>

Et voilà. Nous avons ajouté la configuration d'un nouveau serveur. Sauvegardez et fermez le fichier, puis redémarrez Apache pour conclure. Le second serveur est désormais opérationnel. Pour en ajouter encore d'autres, répétez simplement les opérations précédentes, en choisissant à chaque fois un numéro de port différent. Ne choisissez pas 9001, 9002, 9003, etc... Cela ne marchera pas. Il faut en effet un peu plus d'espace entre les ports, par exemple 9005, 9010, 9015, etc... Vous ne devriez également pas choisir un numéro en dessous de 9000, car de nombreux numéros correspondent déjà à des protocoles existants. Pour vérifier si un numéro est attribué ou non, vous pouvez consulter le site internet de l'IANA ( http://www.iana.org/assignments/port-numbers ).

Documentation

Pour obtenir d'autres informations, vous pourrez trouver le manuel complet du serveur web Apache sur le site de l'Apache Software Foundation ( http://httpd.apache.org/docs/ ).

Réseau

Airport et les routeurs

Si vous êtes connecté à internet via Airport ou un modem/routeur, vous pourriez rencontrer des difficultés pour accéder à votre serveur nouvellement configuré depuis l'extérieur. En effet, toutes les requêtes sont bloquées par le routeur. Heureusement, il existe un moyen pour permettre des connections distantes.

Si vous utilisez Airport pour vous connecter, ouvrez simplement l'application «Utilitaire Admin Airport», qui se trouve dans /Applications/Utilitaires/, et connectez-vous sur votre borne. Ensuite, cliquez sur «Show All Settings», et allez dans la section «Port Mapping». Vous obtiendrez ceci:

img-7

Il vous suffit d'ouvrir les ports nécessaire. Prenons un exemple avec le port HTTP (utilisé pour internet). Le numéro de port correspondant est 80. Entrez ce numéro dans les champs «Public Port» et «Private Port». Ensuite, entrez le numéro IP de votre machine (qui peut être trouvée dans les Préférences Système, à la rubrique Réseau) dans le champ «Private Address».

Si vous mettez à jour votre station de base avec ces réglages, toutes les requêtes sur le port 80 de la borne seront redirigées vers le port 80 de votre machine. Donc, depuis l'extérieur, si vous vous connectez à l'adresse IP de la borne depuis un navigateur, vous atteindrez le serveur Apache de votre Macintosh.

La procédure est pareille si vous utilisez un modem/routeur. Connectez-vous à l'interface de configuration du routeur, et ajoutez les ports désirés, ainsi que votre adresse IP. Voici par exemple l'interface de mon propre routeur, un Netopia.

img-8

Vous pouvez ici définir une rangée de ports, mais si vous ne le voulez pas, entrez simplement le même port dans tous les champs. Reportez- vous au manuel de votre modem, ou à votre FAI pour en savoir d'avantage sur votre modèle spécifique.

Numéros de port

Vous trouverez dans cette section les ports habituels qui sont utilisés sur Mac OS X. Vous n'avez pas besoin de les ouvrir tous, mais si vous désirez atteindre un service particulier depuis l'extérieur, ajoutez simplement le numéro correspondant à la configuration de votre routeur. Pour accéder au serveur web, le seul port que vous devez ouvrir est le 80, plus les ports des hôtes virtuels, si vous en avez défini dans le chapitre précédent.

::

Port

20

Protocol

ftp-data

Description

File Transfer Protocol / Data

Protocole utilisé pour transférer des fichiers depuis un ordinateur vers un autre, à travers le réseau.

::

Port

21

Protocol

ftp

Description

File Transfer Protocol / Control

Protocole utilisé pour transférer des fichiers depuis un ordinateur vers un autre, à travers le réseau.

::

Port

22

Protocol

ssh

Description

Secure Shell

Protocole utilisé pour ouvrir une session shell sur une machine distante.

::

Port

23

Protocol

telnet

Description

Telnet

Protocole utilisé pour ouvrir une session telnet sur une machine distante.

Désactivé par défaut sur Mac OS X, pour des raisons de sécurité. Utilisez plutôt SSH.

::

Port

25

Protocol

smtp

Description

Simple Mail Transfer Protocol

Protocole utilisé pour envoyer des messages électroniques depuis un serveur mail distant.

::

Port

80

Protocol

http

Description

Hyper Text Transfer Protocol

Protocole du World Wide Web.

::

Port

110

Protocol

pop3

Description

Post Offce Protocol

Protocole utilisé pour transférer des messages électroniques depuis un serveur mail distant.

::

Port

115

Protocol

sftp

Description

Secure FTP

Protocole FTP, avec connections et transferts de données sécurisés.

::

Port

143

Protocol

imap

Description

Interet Message Access Protocol

Protocole utilisé pour accéder à des messages électroniques stockés sur un serveur mail distant.

::

Port

443

Protocol

https

Description

HTTP Secure

Protocole HTTP, avec connections et transferts de données sécurisés.

::

Port

548

Protocol

afp

Description

AppleTalk Filing Protocol

Protocole utilisé par les fonctionnalités de partage de fichiers de Mac OS X. Permet d'accéder à un autre Macintosh présent sur le réseau.

::

Port

3306

Protocol

mysql

Description

MySQL

Protocole utilisé pour accéder à un serveur MySQL distant.

Pour obtenir une liste exhaustive des numéros de ports, veuillez vous référer au site de l'Internet Assigned Numbers Authority (IANA) ( http://www.iana.org/assignments/port-numbers ).

Librairies graphiques

Informations

Typo3 est capable de produire des éléments graphiques à la demande. Cette capacité est utilisée lors de la création de menus graphiques, d'aperçus, etc... Mais pour effectuer cela, Typo3 a besoin de programmes et de librairies Unix externes. Nous n'allons pas installer des versions prêtes à l'emploi de ces programmes, qui peuvent parfois être incomplètes ou incompatibles. Nous allons à chaque fois télécharger le code source, et le convertir en une version binaire exécutable. Cette opération est appelée compilation. Parfois, cela peut prendre un certain temps, mais c'est une partie assez agréable. Vous verrez en effet votre Macintosh travailler tout seul. L'ordre d'installation est TRÈS important, car certains des programmes que nous allons installer ont des dépendances. Cela veut dire que nous ne pourrons pas en installer un, si un autre n'est pas déjà présent sur le système. Respectez donc attentivement l'ordre d'installation de ce manuel.

Note à propos de la compilation

Sur les systèmes Unix, la compilation d'un programme se passe généralement de la manière suivante:

Télécharger et décompresser le code source.

Ouvrir une session shell.

Obtenir les privilèges root.

Cd dans le répertoire contenant la source du programme.

Configurer le processus de compilation:

./configure [paramètres optionnels]

Lancer la compilation:

make

Installer les fichiers:

make install

Lorsque la commande make install est terminée, vous pouvez effacer le répertoire contenant le code source. Si vous désirez obtenir tous les paramètres de compilation disponibles, tapez ./configure --help, à l'intérieur du répertoire source.

Lib JPEG

((generated))
1. Informations

Cette librairie n'est pas utilisée par Typo3, mais puisque nous allons devoir recompiler PHP plus loin dans ce manuel, nous allons l'inclure quand même. Elle n'est pas difficile à installer, et vous pourriez en avoir besoin dans un autre projet.

2. Télécharger la source

Le code source peut être téléchargé depuis le site de l'Independent JPEG Group ( http://www.ijg.org/ ). La version testée dans ce manuel est JPEG v6b. Assurez-vous de bien télécharger cette version.

3. Compilation

La compilation de Lib JPEG se passe sans problème. En tant que root, il vous suffit simplement de taper les commandes suivantes, à l'intérieur du répertoire contenant la source:

cp -f /usr/share/libtool/config.* ./
./configure --enable-static --enable-shared
make
make install

Avant de lancer la commande configure, nous avons copié les fichiers de configuration de libtool dans le répertoire source. Ces fichiers sont requis pour compiler correctement les librairies de Lib JPEG.

Les paramètres --enable-shared et --enable-static sont utilisées pour indiquer que nous voulons compiler aussi bien les librairies que les programmes exécutables. Les librairies seront utilisées, par exemple, par ImageMagick.

Les fichiers produits par la commande make seront installés dans /usr/local/, qui est l'emplacement par défaut pour la plupart des programmes et librairies du type de Lib JPEG.

Lib PNG

((generated))
1. Informations

Nous allons maintenant installer la librairie utilisée pas Typo3 pour produire des images au format PNG. La plupart du temps, Typo3 préfère utiliser ce format. Cette librairie est donc très importante.

2. Télécharger la source

Vous pouvez télécharger le code source depuis le site internet du projet ( http://www.libpng.org/pub/png/libpng.html ). La version testée ici est 1.2.5.

3. Compilation

Lib PNG est fourni avec de nombreux fichiers de compilation, ou «makefiles». En fait, il en existe un par type de système. Ces fichiers sont des scripts utilisés par la commande make pour compiler le programme. Dans le répertoire de libpng, vous trouverez un dossier «scripts». A l'intérieur de celui-ci se trouve le fichier de compilation pour Mac OS X (makefile.macosx). Copiez le simplement au niveau supérieur, et renommez le «makefile».

Avant d'exécuter le processus de compilation, nous allons devoir apporter quelques corrections à ce fichier. Si vous tentez la compilation sans les corrections qui vont suivre, vous obtiendrez une erreur. En effet, lors de l'installation, le script efface les fichiers avant de les installer, ce qui évidemment n'est pas très efficace! Ouvrez donc le fichier «makefile» dans un éditeur texte, et remplacez soigneusement les lignes ci-dessous:

::

Ligne

12
13
14
15

Code fonctionnel

ZLIBLIB=/usr/lib
ZLIBINC=/usr/include
#ZLIBLIB=../zlib
#ZLIBINC=../zlib
::

Ligne

24

Code fonctionnel

LDFLAGS=-L. -L$(ZLIBLIB) -lpng -lz
::

Ligne

119
120
121
122
123
124
125

Code fonctionnel

ln -f -s libpng.3.$(PNGMIN).$(SHAREDLIB_POSTFIX) \
libpng.3.$(SHAREDLIB_POSTFIX); \
ln -f -s libpng.3.$(SHAREDLIB_POSTFIX) libpng.$(SHAREDLIB_POSTFIX); \
ln -f -s $(LIBNAME).$(PNGVER).$(SHAREDLIB_POSTFIX) \
libpng.$(SHAREDLIB_POSTFIX); \
ln -f -s libpng.3.$(PNGMIN).$(SHAREDLIB_POSTFIX) \
libpng.3.$(SHAREDLIB_POSTFIX); \

C'est terminé pour les corrections. Maintenant, il nous faut également désactiver les lignes suivantes, en plaçant un signe # avant chacune:

::

Ligne

94
95

Code fonctionnel

#-@/bin/rm -f $(DI)/png.h $(DI)/pngconf.h
#-@/bin/rm -f $(DI)/libpng
::

Ligne

102

Code fonctionnel

#-@/bin/rm -f $(DL)/libpng.a
::

Ligne

108

Code fonctionnel

#-@/bin/rm -f \
::

Ligne

110
111
112
113

Code fonctionnel

#-@/bin/rm -f $(DL)/$(LIBNAME).$(SHAREDLIB_POSTFIX)
#-@/bin/rm -f libpng.$(SHARED_POSTFIX)
#-@/bin/rm -f libpng.3.$(SHARED_POSTFIX)
#-@/bin/rm -f libpng.3.$(PNGMIN)*.$(SHARED_POSTFIX)
::

Ligne

131
132

Code fonctionnel

#-@/bin/rm -f $(DL)/pkgconfig/$(LIBNAME).pc
#-@/bin/rm -f $(DL)/pkgconfig/libpng.pc
::

Ligne

140
141

Code fonctionnel

#-@/bin/rm -f $(DM)/man3/libpng.3
#-@/bin/rm -f $(DM)/man3/libpngpf.3
::

Ligne

145

Code fonctionnel

#-@/bin/rm -f $(DM)/man5/png.5
::

Ligne

150
151

Code fonctionnel

#-@/bin/rm -f $(DB)/libpng-config
#-@/bin/rm -f $(DB)/$(LIBNAME)-config

Le script est maintenant fonctionnel. Il n'y a pas besoin de lancer la commande configure, puisque nous avons placé le fichier spécifique à Mac OS X. Pour compiler, tapez donc simplement make et make install.

Lib TIFF

((generated))
1. Informations

La prochaine librairie va ajouter le support pour le format TIFF. Cela sera utilisé par Typo3 pour produire des aperçus à partir de fichiers TIFF.

2. Télécharger la source

Le code source peut être obtenu depuis http://www.libtiff.org/ . La version utilisée dans ce manuel est 3.6.1.

3. Compilation

Lib TIFF se compile sans problème en utilisant la procédure standard (./configure - make - make install).Comme d'habitude, les fichiers seront installés dans /usr/local/.

FreeType

((generated))
1. Informations

Nous allons maintenant installer la librairie FreeType. Celle-ci est également très importante pour Typo3. Elle sera utilisée pour produire à la demande des images contenant du texte. Vous en aurez besoin pour générer des images dynamiques, des menus, des boutons, etc...

2. Télécharger la source

Nous allons installer la version 2 de FreeType, car les versions précédentes ne se compilent pas très bien sur OS X. Vous pouvez télécharger FreeType 2 sur le site internet de SourceForge ( http://sourceforge.net/projects/freetype ). La version testée ici est FreeType 2.1.9.

3. Compilation

Utilisez la procédure standard pour installer FreeType dans /usr/local/.

4. Corriger l'installation

Nous devons maintenant corriger un fichier include de FreeType, afin de pouvoir l'utiliser avec d'autres programmes. Ce fichier est freetype.h et peut être trouvé dans /usr/local/include/freetype2/freetype/.

Vous allez devoir désactiver les lignes suivantes, en ajouter le signe // devant chacune:

::

Ligne

19
20
21
22
23
24
25

Code fonctionnel

//#ifndef FT_FREETYPE_H
//#error "`ft2build.h' hasn't been included yet!"
//#error "Please always use macros to include FreeType header files."
//#error "Example:"
//#error "  #include <ft2build.h>"
//#error "  #include FT_FREETYPE_H"
//#endif

GNU GhostScript

((generated))
1. Informations

GhostScript va ajouter le support pour les fichiers Adobe Illustrator (.ai) et PDF dans Typo3.

2. Télécharger la source

Le code source de GNU GhostScript peut être obtenu sur le site internet du projet ( http://www.ghostscript.com/doc/gnu/ ). La version utilisée ici est 7.0.7.

3. Compilation

Utilisez la procédure standard pour installer GhostScript dans /usr/local/. Vous verrez peut-être des avertissements durant la compilation, mais vous pouvez sans autre les ignorer.

ImageMagick

((generated))
1. Informations

Nous allons maintenant nous occuper d'ImageMagick, qui est un outil de transformation d'images. Il va utiliser les librairies que nous venons d'installer pour lire, écrire, et manipuler une image quelconque dans de nombreux autres formats.

2. Télécharger la source

Vous pouvez télécharger ImageMagick depuis le serveur FTP du projet ( ftp://ftp.imagemagick.org/pub/ImageMagick/ ). Actuellement, la dernière version est ImageMagick 6, mais il est impossible de l'utiliser avec Typo3 (pour des raisons de performances). Vous devez donc télécharger ImageMagick 5. La version que nous utilisons dans ce manuel est 5.5.7-23. Vérifiez que vous téléchargez la bonne version.

3. Compilation

Nous allons avoir besoin des librairies partagées d'ImageMagick, qui ne sont pas installées par défaut. Utilisez donc la commande de configuration ci-dessous:

./configure --enable-shared

Ensuite, tapez simplement make et make install. Le processus de compilation d'ImageMagick peut prendre un certain temps. Ne soyez donc pas surpris.

GD

((generated))
1. Informations

GD est un autre outil de transformation d'images. Actuellement, la version 2 de GD est fournie avec la version de PHP que nous allons installer. Il n'y a donc pas besoin de le faire au préalable.

Librairies supplémentaires

Informations

Les librairies qui vont suivre ne sont pas requises pour une installation de base de Typo3. Elles sont en fait utilisées par des extensions, comme Indexed Search Engine, ou PDF Generator. Comme ces extensions sont utilisées sur la plupart des sites Typo3, je vais vous donner les instruction nécessaire pour installer les librairies qu'elles utilisent.

CatDoc

((generated))
1. Informations

CatDoc est un programme utilisé par l'extension Indexed Search Engine pour indexer des fichiers au format .doc.

2. Télécharger la source

Le code source de CatDoc peut être téléchargé depuis le site internet du projet ( http://www.45.free.net/~vitus/ice/catdoc/ ). La version que nous utilisons ici est 0.93.3.

3. Compilation

Avant de lancer la compilation, nous devons effacer un fichier nommé INSTALL, au premier niveau du répertoire contenant la source. Ce fichier contient des instructions au sujet de l'installation, mais malheureusement, il va empêcher la commande make install de s'exécuter correctement. Effacez donc simplement ce fichier, et lancer la procédure standard de compilation (./configure - make - make install). Comme d'habitude, les fichiers seront installés dans /usr/local/.

XPDF

((generated))
1. Informations

XPDF est un autre groupe de programmes utilisés par l'extension Indexed Search Engine pour indexer des fichiers PDFs.

2. Télécharger la source

Le code source peut être obtenu depuis le site de FooLabs ( http://www.foolabs.com/xpdf/download.html ). La version testée ici est 3.0.0.

3. Compilation

Voici la commande de configuration dont vous aurez besoin pour compiler XPDF:

./configure --with-freetype2-library=/usr/local/lib --with-freetype2-includes=/usr/local/include/freetype2 --enable-a4-paper

Ensuite, tapez make et make install pour tout compiler et installer dans /usr/local, comme toujours.

HTML Doc

((generated))
1. Informations

HTML Doc est un outil permettant de convertir une page HTML en fichier PDF. Il est utilisé par l'extension PDF Generator pour transformer le contenu de vos pages Typo3 en PDF.

2. Télécharger la source

Le code source est disponible depuis http://www.easysw.com/htmldoc/software.php . Choisissez «Source code», et téléchargez. La version testée est 1.8.23.

3. Compilation

Utilisez la commande de configuration suivante:

./configure --prefix=/usr/local --without-gui

Ensuite, make et make install. Vous verrez peut-être des avertissements durant la phase de compilation, mais vous pouvez les ignorer.

GNU Aspell

((generated))
1. Informations

Aspell est un correcteur orthographique en open source. Il n'est pas utilisé par Typo3, mais comme les prochaines versions du CMS vont probablement utiliser HTMLArea comme RTE (Rich Text Editor) par défaut, il pourrait devenir fort utile. En effet, HTMLArea est fourni avec un plugin permettant la correction orthographique via Aspell. Pour le moment, ce plugin fonctionne assez mal avec la version Typo3 de HTMLArea, mais au rythme où vont les choses, il pourrait être utilisable prochainement.

Vous pouvez sauter cette section sans aucun problème. Mais pour ceux d'entre vous veulent installer Aspell, voici comment procéder:

2. Télécharger la source

Le code source d'Aspell peut être obtenu depuis le serveur FTP de GNU ( ftp://ftp.gnu.org/gnu/aspell/ ). La version utilisée ici est 0.50.5.

3. Compilation

Aspell se compile parfaitement avec la méthode standard (./configure - make - make install).

4. Dictionnaires

Vous pouvez maintenant installer le(s) dictionnaire(s) pour votre langue, et le téléchargeant depuis ftp://ftp.gnu.org/gnu/aspell/dict/ . A nouveau, utilisez la procédure standard de compilation.

MySQL

Informations

Nous allons maintenant installer le système de bases de données relationnel MySQL, qui contiendra toutes les tables utilisées par Typo3. MySQL n'est pas fourni de base avec Mac OS X. Par contre, OS X a déjà un utilisateur système permettant d'exécuter le serveur MySQL. La distribution officielle est, de plus, composée d'exécutables. Nous n'aurons donc pas besoin de compiler MySQL.

Installation

((generated))
1. Téléchargement

Pour télécharger MySQL, connectez-vous sur http://dev.mysql.com/downloads/mysql/4.0.html , descendez jusqu'à la section OS X et choisissez la version mise en évidence dans l'image ci-dessous:

img-9

Lorsque le téléchargement est terminé, décompressez le fichier, ouvrez le terminal, et connectez vous en tant que root.

2. Installation

En premier, vous allez devoir copier le dossier que vous venez de décompresser dans /usr/local/. Utilisez une commande comme celle que vous trouverez ci-dessous. Suivant à quel endroit vous avez décompressé le fichier, elle sera peut-être un peu différente (souvenez-vous que vous devez avoir les privilèges root):

cp -prf Desktop/mysql-4.0.x-apple-darwin6.6-powerpc /usr/local/mysql

Maintenant, toujours dans la session root, allez dans /usr/local/mysql/ et lancez le script d'installation:

./scripts/mysql_install_db

Il faut également modifier le propriétaire du répertoire mysql:

chown -R mysql /usr/local/mysql/*

Nous pouvons maintenant démarrer le serveur:

./bin/safe_mysqld --user=mysql &

La dernière étape consiste à sécuriser l'installation, en attribuant un mot de passe à l'utilisateur root de MySQL. Pour cela, tapez:

/usr/local/mysql/bin/mysqladmin -u root password your_password

Configuration

((generated))
1. Lancement automatique au démarrage

Pour éviter d'avoir à lancer le serveur MySQL à la main, comme nous venons de le faire, à chaque fois que la machine démarre, nous allons maintenant créer un script de démarrage.

En premier lieu, créez un répertoire MySQL dans /Bibliothèque/StartupItems/. Nous allons ajouter deux fichiers dans ce répertoire. Le premier est le script de démarrage. Il doit se nommer MySQL, et contenir le code suivant:

#!/bin/sh
. /etc/rc.common
if [ "${MYSQL:=-YES-}" = "-YES-" ]; then
ConsoleMessage "Starting MySQL"
cd /usr/local/mysql/
if [ -e ./bin/safe_mysqld ]
then
./bin/safe_mysqld --user=mysql &
elif [ -e ./bin/mysqld_safe ]
then
./bin/mysqld_safe --user=mysql &
else
ConsoleMessage "MySQL not found"
fi
fi

Le second fichier contient des informations pour OS X. Il doit s'appeler StartupParameters.plist, et contenir les lignes ci-dessous:

{
Description   = "MySQL";
Provides      = ("MySQL");
Requires      = ("Resolver");
Preference    = "Late";
Messages =
{
start = "Starting MySQL";
stop  = "Stopping MySQL";
};
}

La dernière chose à faire est de rendre possible l'exécution de ces fichiers, à l'aide de chown et chmod:

sudo chown -R root:admin /Library/StartupItems/MySQL/
sudo chmod 755 /Library/StartupItems/MySQL/MySQL
2. Variables d'environnement

Vous avez peut-être remarquer que, dans la section sur l'installation, nous avons appelé le programme mysqladmin avec un chemin absolu. Ceci parce que le système ne sait pas que les utilitaire MySQL se trouvent dans le répertoire /usr/local/mysql/. Nous allons donc le lui indiquer, afin de pouvoir utiliser ces programmes comme n'importe quelle autre commande Unix. Vous devez pour cela créer un fichier appelé .profile, dans le dossier de départ de l'utilisateur root. Dans le terminal, tapez donc, en tant que root

cd /var/root/
pico .profile

Entrez ensuite le code suivant, sauvegardez et fermez le fichier:

export PATH=$PATH:/usr/local/bin:/usr/local/mysql/bin

Ensuite, copiez ce fichier dans votre dossier de départ:

cp .profile /Users/your_username/

La configuration est maintenant terminée. Nous pouvons à présent utiliser les utilitaire MySQL, dont vous trouverez une description dans la prochaine section.

Commandes MySQL

Vous trouverez ici un résumé des commandes MySQL de base. Cette liste n'est pas exhaustive. Reportez-vous au manuel de MySQL pour de plus amples détails à propos de ces commandes.

((generated))
1. mysql

Il s'agit du serveur MySQL lui-même, dans lequel vous pouvez exécuter des requêtes. Lorsque vous l'invoquez depuis le terminal, vous devez utiliser sudo. Ce programme a en effet besoin des privilèges root. Vous devez également utiliser l'option p pour indiquer au serveur que vous allez utiliser un mot de passe, puisque nous en avons défini un plus haut. Par exemple:

sudo mysql -p

Je ne vais pas ici vous expliquer comment effectuer des requêtes MySQL. Vous pouvez toujours consulter la section sur la documentation, pour savoir où chercher des informations à ce sujet.

Le programme MySQL vous permet également d'importer des fichiers .sql dans une base de données spécifique. Par exemple:

sudo mysql -p databasename < mysqlfile.sql
2. mysqladmin

Il s'agit du programme d'administration de MySQL, qui va vous permettre, par exemple, de créer ou de supprimer des bases de données.Vous devez l'invoquer comme mysql, avec sudo et l'option p. La syntaxe par défaut est:

sudo mysqladmin -p commande
::

Commande

create databasename

Description

Crée une base de données.

::

Commande

drop databasename

Description

Supprime une base de données ainsi que toutes ses tables.

::

Commande

extended-status

Description

Affiche un statut complet du serveur.

::

Commande

ping

Description

Vérifie si le serveur MySQL est actif.

::

Commande

processlist

Description

Affiche tous les tâches en cours.

::

Commande

reload

Description

Recharge la table des privilèges.

::

Commande

refresh

Description

Vide toutes les tables de la mémoire cache, et ferme les fichiers log.

::

Commande

shutdown

Description

Arrête le serveur.

::

Commande

status

Description

Affiche un résumé des activités du serveur.

::

Commande

version

Description

Affiche la version de MySQL.

3. mysqldump

Ce programme est utilisé pour exporter des fichiers .sql depuis votre serveur MySQL. Vous devez l'invoquer comme mysql, avec sudo et l'option p. La syntaxe par défaut est:

sudo mysqldump -p [optional params] databasename > mysqlfile.sql
::

Option

-A

Nom

All DB

Description

Crée un fichier contenant toutes les bases de données.

::

Option

-a

Nom

All

Description

Inclut toutes les options spécifiques à MySQL pour la création.

::

Option

-B

Nom

Databases

Description

Crée un fichier contenant plusieurs bases de données, passées comme arguments.

::

Option

-c

Nom

Complete

Description

Crée des instruction INSERT complètes.

::

Option

-d

Nom

Data

Description

N'inclut pas les données des tables, mais seulement la structure.

::

Option

-e

Nom

Extended

Description

Crée des instructions INSERT étendues.

::

Option

-l

Nom

Lock

Description

Verrouille les tables à la lecture.

::

Option

-q

Nom

Quick

Description

Ne place pas la requête dans la mémoire cache.

::

Option

-t

Nom

Tab

Description

Crée également un fichier tabulé avec le fichier .sql standard.

::

Option

--opt

Nom

Description

Ajoute les instructions ADD DROP TABLE, ADD LOCKS, et inclut les options -a, -e, -l et -q

Création d'une base de données

Nous sommes maintenant prêts à créer la base de données qui sera utilisée par Typo3. Dans le terminal, tapez:

sudo mysqladmin -p create typo3

Dans cet exemple, nous avons choisi typo3 comme nom de base de données. Vous pouvez bien sûr en utiliser un autre.

Création d'un utilisateur

Nous allons également créer un utilisateur, et l'associer à notre nouvelle base de données. N'utilisez jamais l'utilisateur MySQL root pour une application internet. Créez en toujours un nouveau. Cela s'effectue ainsi, dans mysql (sudo mysql -p):

GRANT ALL ON typo3.* TO username@localhost IDENTIFIED BY 'userpassword';

L'instruction GRANT donne à un utilisateur des privilèges sur une base de données spécifique. Lisez le manuel de MySQL pour de plus amples explications sur cette instruction.

Administration

Nous pourrions utiliser le terminal pour toutes les opérations MySQL, mais il existe des moyens plus simples. Nous allons ici installer PHPMyAdmin, qui est un outil d'administration écrit en PHP. Il nous offrira une interface graphique beaucoup plus conviviale pour administrer nos bases de données et nos tables. Connectez-vous donc sur le site de PHPMyadmin ( http://www.phpmyadmin.net/ ), et téléchargez la dernière version stable.

((generated))
1. Configurer PHPMyAdmin

Vous devez décompresser le fichier que vous venez de télécharger, et le placer au premier niveau de la racine web de votre serveur. Si vous avez suivi à la lettre ce manuel, cela devrait être /Library/Servers/Server-1/Documents/. Renommez le répertoire «phpmyadmin», pour pouvoir y accéder plus facilement. A l'intérieur du répertoire se trouve un fichier nommé config.inc.php. Il s'agit du fichier de configuration de PHPMyAdmin. Ouvrez le dans un éditeur texte, et changez les lignes ci-dessous:

[...]
$cfg['PmaAbsoluteUri'] = 'http://127.0.0.1/phpmyadmin/';
[...]
$cfg['Servers'][$i]['auth_type']     = 'http';

C'est la configuration minimale requise. Vous pouvez bien sûr continuer à configurer votre installation, si vous en avez envie, et si vous savez comment faire.

2. Accéder à PHPMyAdmin

Pour accéder à PHPMyAdmin, ouvrez un navigateur internet, et connectez vous à l'adresse http://127.0.0.1/phpmyadmin/ . Un login ainsi qu'un mot de passe vous seront demandés. Vous pouvez choisir root, ou l'utilisateur que vous avez créé précédemment. Si vous vous connectez en tant que root, vous aurez accès au système MySQL complet, alors que dans l'autre cas, vous n'aurez accès qu'à votre base de données.

3. Documentation

PHPMyAdmin est un programme complexe. Si vous n'avez pas d'expérience avec les bases de données, vous devriez lire le manuel, qui est disponible à l'adresse http://www.phpmyadmin.net/home_page/docs.php .

Documentation

Pour obtenir d'avantage d'informations sur le système de bases de données relationnel MySQL, vous pouvez vous connecter sur le site internet de MySQL AB ( http://dev.mysql.com/doc/ ), pour y trouver le manuel complet.

PHP

Informations

Nous avons maintenant compilé et installé tous les programmes et librairies nécessaires à l'utilisation de Typo3. Mais il nous reste encore à recompiler PHP, pour que ces changements soient disponibles. En effet, Typo3 utilise la plupart de ces programmes via l'API PHP. Apple fournit avec son système une distribution basique de PHP. Nous allons donc en créer une autre, plus appropriée à nos besoins. Nous laisserons l'installation d'Apple en place, pour éviter des problèmes lors de mises à jour du système. Nous nous contenterons de la désactiver, et nous mettrons notre propre version à un autre endroit.

Installation

((generated))
1. Télécharger la source

PHP peut être obtenu depuis http://www.php.net/downloads.php . Téléchargez le code source complet de la dernière version stable de PHP 4 (certainement PHP 4.3.8), décompressez le fichier, et allez dans ce répertoire en tant que root.

Bien que la toute dernière version du langage PHP (5.0.0) se compile sans aucun problème sur Mac OS X, nous n'allons pas l'utiliser. Cette version fonctionne également avec Typo3, mais il est encore trop tôt, à mon avis, pour l'installer. Nous n'avons en effet pas encore énormément de recul face à cette nouvelle version.

2. Compilation

Avant d'entreprendre la compilation, nous allons faire une sauvegarde de l'ancien module PHP. Pour cela, utilisez la commande suivante:

sudo mv /usr/libexec/httpd/libphp4.so /usr/libexec/httpd/libphp4.so.save

Pour correctement compiler PHP, nous ne pouvons pas utiliser uniquement ./configure, puisque nous allons utiliser des paramètres spéciaux. Voici donc la commande de configuration à utiliser:

./configure --prefix=/usr/local/php --with-config-file-path=/usr/local/php --with-apxs --with-ldap=/usr --with-kerberos=/usr --enable-cli --with-zlib-dir=/usr --enable-trans-sid --with-xml --enable-exif --enable-ftp --enable-mbstring --enable-dbx --enable-sockets --with-iodbc=/usr --with-curl=/usr --with-tiff-dir=/usr/local --with-gd --with-png-dir=/usr/local --with-jpeg-dir=/usr/local --with-freetype-dir=/usr/local --enable-gd-native-ttf --enable-gd-imgstrttf

Il s'agit des même paramètre que pour la version d'Apple, mais avec le support de toutes les librairies que nous avons installées et un nouvel emplacement. Une fois la configuration terminée, vous devriez voir ceci:

+--------------------------------------------------------------------+
| License:                                                           |
| This software is subject to the PHP License, available in this     |
| distribution in the file LICENSE.  By continuing this installation |
| process, you are bound by the terms of this license agreement.     |
| If you do not agree with the terms of this license, you must abort |
| the installation process at this point.                            |
+--------------------------------------------------------------------+
|                          *** NOTE ***                              |
|            The default for register_globals is now OFF!            |
|                                                                    |
| If your application relies on register_globals being ON, you       |
| should explicitly set it to on in your php.ini file.               |
| Note that you are strongly encouraged to read                      |
| http://www.php.net/manual/en/security.registerglobals.php          |
| about the implications of having register_globals set to on, and   |
| avoid using it if possible.                                        |
+--------------------------------------------------------------------+

Thank you for using PHP.

Vous pouvez alors lancer make, et make install. Ces opérations vont prendre beaucoup de temps. Il vous faudra donc faire preuve de patience. Notre nouvelle version sera installée dans /usr/local/php/, et le module Apache dans /usr/libexec/httpd/.

La dernière étape est de copier le fichier de configuration de PHP, qui est fourni avec le code source. Pour cela, toujours en tant que root dans le répertoire source, tapez:

cp php.ini-* /usr/local/php/

Configuration

Nous allons maintenant configurer notre installation. Nous avons copié deux fichiers dans le répertoire PHP: php.ini-dist et php.ini- recommended. Ces fichiers sont des exemples de configuration. Le premier contient une configuration basique, et le second, une configuration recommandée. Nous allons choisir, dans ce cas là, la version recommandée, et l'optimiser un peu pour Typo3. Commençons par la copier:

sudo cp /usr/local/php/php.ini-recommended /usr/local/php.ini

Ouvrez maintenant ce fichier dans un éditeur texte. A la ligne 89, vous verrez ceci:

short_open_tag = On

Il n'est pas nécessaire de mettre cette directive sous «Off», mais il est fortement recommandé de le faire. Cela affectera la façon de déclarer un script PHP. Si vous la désactivez, vous ne pourrez plus utiliser des balises courtes (<? ?>).

Ensuite, à la ligne 167:

allow_call_time_pass_reference = Off

Avec cette directive sous «Off», il est impossible de forcer une variable à être passée par référence lorsque vous appelez une fonction. Ce réglage est correct pour Typo3, et ne doit en aucun cas être changé.

Plus loin, à la ligne 208, une directive très importante:

;open_basedir =

Cette directive est commentée (avec le signe ;). Elle est donc inactive. Elle contrôle les endroits de votre disque auxquels PHP pourra accéder. Sans elle, PHP peut accéder à l'entier du disque. Il vaut donc mieux l'activer, et ajouter des chemins d'accès (chaque chemin étant séparé par le signe :), comme dans l'exemple ci-dessous:

open_basedir = /Library/Servers/:/usr/bin/:/usr/sbin/:/usr/local/bin/:/var/tmp/

Maintenant, à la ligne 240:

;;;;;;;;;;;;;;;;;;;
; Resource Limits ;
;;;;;;;;;;;;;;;;;;;

max_execution_time = 30     ; Maximum execution time of each script, in seconds
max_input_time = 60         ; Maximum amount of time each script may spend parsing request data
memory_limit = 8M           ; Maximum amount of memory a script may consume (8MB)

Ces lignes contrôlent les ressources attribuées à PHP. Pour Typo3, nous allons devoir augmenter la limite de mémoire à au moins 16M. Vous devriez également augmenter le temps maximum d'exécution à 60.

Ensuite, à la ligne 285:

error_reporting  =  E_ALL

Cette ligne contrôle les erreurs PHP qui seront affichées. Vous devriez désactiver les avertissements:

error_reporting  =  E_ALL & ~E_NOTICE

De cette manière, vous ne serez pas averti lors d'une «erreur» de ce type, qui peut parfaitement être intentionnelle.

Vous devriez également activer l'affichage des erreurs PHP, afin d'être informé lorsque vous avez un bug dans un script. Cela se passe à la ligne 292, en écrivant «On» à la place de «Off»:

display_errors = Off

Toujours plus loin, à la ligne 369:

variables_order = "GPCS"

Cette directive est aussi importante. Les variables d'environnement ne seront pas définies dans le tableau $HTTP_ENV_VARS[], et ce pour des raisons de performance. Ce réglage est correct pour Typo3, et ne devrait jamais être modifié.

Ensuite, à la ligne 380:

register_globals = Off

Le réglage est également correct. N'utilisez jamais la fonctionnalité register_globals dans vos scripts PHP. Cela améliore à la fois la sécurité et les performances.

Même chose à la ligne 397:

register_argc_argv = Off

Et finallement, aux lignes 397 et 400:

magic_quotes_gpc = Off
magic_quotes_runtime = Off

Il est important pour Typo3 que ces deux directives soient sous «Off».

Vous pourriez également avoir envie d'augmenter la taille maximale des fichiers uploadés. C'est possible à la ligne 501:

upload_max_filesize = 2M

Votre nouvelle installation de PHP est maintenant configurée. Il ne reste plus qu'à redémarrer Apache pour que ces changements soient effectifs.

Documentation

Vous pouvez obtenir le manuel complet et de la documentation supplémentaire sur PHP sur le site internet du groupe PHP ( http://www.php.net/manual/ ).

Typo3

Installation

((generated))
1. Informations

Nous sommes maintenant prêts pour l'installation du système de gestion de contenu Typo3. Nous allons effectuer un type d'installation un peu spécial, puisque vous avez peut-être défini des hôtes virtuels au cours du chapitre sur Apache. Nous n'allons pas placer le répertoire «source» de Typo3 dans la racine web d'un des serveur. Nous allons le placer à l'extérieur. Ainsi, il sera accessible depuis n'importe que hôte virtuel, tout simplement par le biais d'un lien symbolique. Cela veut également dire que vous n'aurez qu'un seul répertoire source Typo3 pour tous vos serveurs. Du coup, lorsque vous aurez besoin de mettre à jour Typo3, tout ce qu'il y aura à faire, c'est mettre à jour ce répertoire unique, et tous vos sites seront instantanément mis à jour.

2. Télécharger la source

La première chose à faire est de télécharger une version de Typo3. Connectez-vous sur http://typo3.org/download/packages/ . Vous y verrez trois distributions différentes, plus la source. Vous pouvez d'ores et déjà télécharger la source. Prenez la version en tar.gz, qui a l'avantage de préserver les liens symboliques contenus dans l'archive.

Ensuite, à vous de décider quel distribution vous allez utiliser. La première est appelée «Dummy». Il s'agit d'une version complète et vierge de Typo3, parfaite donc pour démarrer un nouveau projet. Par contre, si vous désirez des exemples, vous pouvez en télécharger une autre, comme «QuickStart», qui est un site Typo3 préfabriqué, et dont l'utilité est de vous aider à comprendre le fonctionnement du système. La dernière distribution, «TestSite», est un autre site d'exemples, mais destiné aux utilisateurs qui connaissent déjà un peu Typo3.

La distribution n'a ici aucune espèce d'importance. Dans ce manuel, j'utilise «Dummy», mais les étapes sont exactement les mêmes pour chacune d'entre elles.

3. Installer les fichiers

Décompressez la source et la distribution que vous avez choisie. Placez le répertoire contenant la source dans /Library/Servers/ et les fichiers de la distribution dans la racine web que vous aurez choisie (ex. /Library/Servers/Server-1/Documents/). Il nous faut également attribuer des permissions correctes pour ces deux répertoires:

sudo chown -R your_username:www /Library/Servers/
sudo chmod -R g+w /Library/Servers/

Et voilà. Comme vous le verrez par la suite, il est extrêmement important que l'utilisateur www aie accès en écriture aux répertoires Typo3. La dernière étape consiste à recréer le lien vers la source Typo3 dans la racine web du serveur. Premièrement, dans la racine web, effacez le vieux lien:

rm typo3_src

Ensuite, créez le nouveau:

ln -s /Library/Servers/typo3_src_3.x.x typo3_src

Tous les autres liens de la distribution vont se référer au lien typo3_src. Donc si ce dernier est correct, les autres le sont également.

Note à propos des navigateurs internet

Les prochaines étapes de l'installation vont se dérouler dans un navigateur internet. Pour que tout se passe bien, vous devrez utiliser un navigateur basé sur Mozilla. Comme vous le découvrirez, le «backend» de Typo3 est un endroit vaste et complexe, avec de nombreuses fonctionnalités. Si votre navigateur ne respecte pas les standards web, votre expérience avec Typo3 pourrait fort bien se transformer en cauchemar.

Les standards sur internet sont extrêmement importants. Ils garantissent à l'utilisateur un affichage correct. Malheureusement, il n'y a aucun moyen pour obliger quelqu'un à respecter ces standards. Sur Mac OS X, vous avez le choix entre plusieurs navigateurs, tous comprenant des fonctionnalités plus élégantes et attractives les unes que les autres. Mais la plupart d'entre eux sont totalement incompatibles avec les standards. Certains d'entre eux, comme Safari, d'Apple, et Internet Explorer, de Microsoft, vont jusqu'à prétendre les respecter, alors que ce n'est absolument pas le cas.

Les navigateurs utilisant le moteur Gecko (de Mozilla) sont compatibles avec les standards. Donc pour travailler avec Typo3, il vous faut en utiliser un. Il peut s'agir de Firefox, Mozilla ou Netscape. Personnellement, mon navigateur favoris est Firefox. Il possède tout ce dont vous avez besoin, il est plus rapide que Netscape et Mozilla, et il offre une interface soignée et intuitive, comme la plupart des programmes sous OS X. Vous trouverez ci-dessous les liens vers ces différents navigateurs:

Firefox     http://www.mozilla.org/products/firefox/
Mozilla     http://www.mozilla.org/products/mozilla1.x/
Netscape    http://channels.netscape.com/ns/browsers/download.jsp

Configuration

((generated))
1. Accéder à Typo3

Maintenant que vous avez un navigateur digne de ce nom, vous pouvez accéder à votre installation de Typo3. Connectez vous à cette adresse:

http://localhost/

Si vous êtes sur un hôte virtuel, ajoutez le numéro de port après localhost (ex. http://localhost:9000). Vous devriez obtenir ceci:

In the main source distribution of TYPO3, the install script is disabled by a die() function call. Open the file typo3/install/index.php and remove/out-comment the line that outputs this message!

Pour des raisons de sécurité, l'installeur est désactivé. Pour le rendre disponible, ouvrez le fichier typo3_src/typo3/install/index.php, et désactivez les lignes suivantes en ajoutant le signe // devant chacune:

::

Ligne

44

45


46

Correct code

//if (1==1 || (substr($HTTP_SERVER_VARS['REMOTE_ADDR'],0,7)!='192.168' && $HTTP_SERVER_VARS['REMOTE_ADDR']!='127.0.0.1')) {
//die("In the main source distribution of TYPO3, the install script is disabled by a die() function call.<BR>Open the file typo3/install/index.php and remove/out-comment the line that outputs this message!");
//}

Sauvegardez ce fichier, et rafraîchissez la page sur votre navigateur.

2. 1-2-3 GO!

Vous devriez voir apparaître ceci:

img-10

Entrez le nom et le mot de passe de l'utilisateur MySQL que vous avez défini précédemment, et cliquez sur le bouton de validation. Sur la page suivante, sélectionnez la base de données que vous avez créée, et, dans la dernière étape, importez la base de données (cliquez simplement sur le bouton de validation).

Félicitations. Vous avez maintenant un système de gestion de contenu Typo3 entièrement fonctionnel sur votre Macintosh.

3. Configuration avancée

Maintenant, configurons un peu plus. Cliquez sur le lien «Continue to configure Typo3». Vous allez tout d'abord devoir entrer un nouveau mot de passe pour sécuriser l'installeur. Une fois cette opération effectuée, rendez-vous dans la section «All Configuration»:

img-11

Cette page permet de configurer les options de base de Typo3. Changez les valeurs comme ci-dessous:

[GFX]
[thumbnails_png]             1
[gdlib_png]                  1
[gdlib_2]                    1
[im_path]                    /usr/local/bin/
[im_path_lzw]                /usr/local/bin/
[im_version_5]               1
[im_imvMaskState]            1
[im_no_effects]              1
[im_v5effects]               1
[im_mask_temp_ext_gif]       1
[im_combine_filename]        composite
[TTFdpi]                     96
[SYS]
[sitename]                   The name of your website
[encryptionKey]              Just enter some random text
[curlUse]                    1
[binPath]                    /usr/bin/,/usr/local/bin/
[BE]
[unzip_path]                 /usr/bin/
[lockRootPath]               Your server's document directory
                             (eg. /Library/Servers/Server-1/Documents)
[FE]
[simulateStaticDocuments]    1

Lorsque vous êtes au bout, validez le formulaire pour que ces nouvelles valeurs soient écrites. Vous pouvez ensuite vous rendre dans «Basic Configuration», ou «Image Processing», pour vérifier que tout est en ordre.

Pour obtenir d'avantage d'informations au sujet des autres options, veuillez vous référer à la section documentation de ce chapitre.

4. Remplacement d'URL

Il y a maintenant une dernière étape à effectuer. Dans le processus de configuration, nous avons activé l'option [simulateStaticDocuments]. Il s'agit d'une fonctionnalité très pratique de Typo3. Toutes vos futures pages seront en effet générées par le fichier index.php. Donc, pour n'importe quelle page, l'URL sera sous cette forme là:

http://localhost/index.php?id=1&type=0

Ceci n'est pas très évident pour vos visiteurs. L'option que nous avons activée va donc transformer l'URL pour simuler un fichier HTLML pour chaque page de votre site, en utilisant le nom de la page. Cette transformation est effectuée via le module Apache «mod_rewrite», que nous avons également activé précédemment.

Nous devons configurer ce module en plaçant un fichier .htaccess au premier niveau de la racine web du serveur. Pour créer ce fichier, vous devez tapez une commande de ce type, dans le terminal:

pico /Library/Servers/Server-1/Documents/.htaccess

Et voici le contenu du fichier:

RewriteEngine On
RewriteCond %{REQUEST_FILENAME} !-f
RewriteRule ^[^/]*\.html$ index.php
RewriteRule ^[^/]*\.pdf$ index.php

Et voilà. Sauvegardez et fermez le fichier, redémarrez Apache, et tout est fini. Vous pouvez maintenant commencer à apprécier le meilleur système de gestion de contenu sur votre système préféré.

Documentation

Vous êtes arrivés au terme de ce manuel. Vous avez un serveur web en fonction, comprenant de nombreuses fonctionnalités, ainsi qu'un installation complète de Typo3. Vous devriez maintenant jeter un coup d'oeil à la section documentation du site officiel de Typo3 ( http://typo3.org/documentation/document-library/Matrix/ ), sur laquelle vous pourrez trouver tout ce que vous désirez savoir au sujet de Typo3.

Si vous n'avez jamais utilisé ce système auparavant, vous devriez lire le manuel «Getting Started», qui est basé sur la distribution «QuickStart» de Typo3. Il vous guidera tout au long de vos premiers pas.

Si vous avez d'autres questions concernant ce manuel, vous pouvez me trouver sur les forums de Typo3 France ( http://www.typo3.fr/forum/ ), sur lesquels je me ferai un plaisir de vous répondre.

Remerciements

((generated))

Pour conclure, il me reste à remercier certaines personnes, sans lesquelles je n'aurais jamais écrit ce manuel.

Mon frère, qui m'a fait découvrir Typo3. Que la force soit avec toi.

L'équipe complète de Typo3 France, qui m'a accueilli parmi elle.

Et bien sûr, Kasper, pour l'ensemble de son merveilleux travail, et pour m'avoir fait comprendre tant de choses. Longue vie à toi et à Typo3!

img-12 Installation de Typo3 sur Mac OS X 10.3 Client - 22